Depuis sa fondation, Lépine Cloutier / Athos est guidée par un puissant esprit d’ouverture et d’innovation. L’entreprise joue un rôle de précurseur dans le domaine funéraire, tant par son usage des nouvelles technologies que par l’ouverture d’esprit dont elle fait preuve, afin de mieux servir les familles de tous les horizons.
Voici 5 moments marquants de l’histoire de Lépine Cloutier / Athos où l’entreprise a été une pionnière du domaine funéraire, de 1845 à aujourd’hui.
1. La plus ancienne entreprise funéraire du Québec
Lépine Cloutier / Athos n’est pas seulement la plus ancienne maison funéraire au Québec. C’est également l’une des plus vieilles entreprises de la province, tous secteurs d’activité confondus.
L’histoire de Lépine Cloutier / Athos débute en 1845, alors que Germain Lépine s’installe dans le quartier Saint-Roch, à Québec. Ébéniste de profession, il y fonde une entreprise spécialisée dans la fabrication de cercueils. Quelques années plus tard, en 1856, un autre ébéniste du nom de Charles Cloutier ouvre sa propre maison funéraire dans le quartier Saint-Jean-Baptiste de la capitale nationale.
Dès 1914, les héritiers de Germain Lépine et de Charles Cloutier collaborent afin d’offrir un meilleur service aux familles endeuillées de Québec. Partageant tous deux les mêmes valeurs de dévouement et d’accompagnement, c’est en 1975 que les entreprises décident de joindre officiellement leurs forces en créant l’entreprise Lépine Cloutier Ltée.
2. Les premiers embaumements dans la ville de Québec
Lépine Cloutier a été la première entreprise funéraire à pratiquer des embaumements dans la ville de Québec, voire dans la province.
Au moment de la création des compagnies de Germain Lépine et Charles Cloutier, on ne pratiquait pas encore l’embaumement des défunts. De ce fait, les familles étaient dans l’obligation de procéder à l’inhumation rapidement après l’exposition.
En 1892, Adélar Lépine révolutionne le domaine des services funéraires de l’époque en réalisant le premier embaumement à Québec. Plus tard, Germain Lépine, le fils d’Adélar, se rendra aux États-Unis pour perfectionner ses connaissances en matière d’embaumement. Guidé par son esprit d’avant-garde, il développera une expertise qui lui permettra de s’imposer comme une référence au Québec.
Avec le temps, l’embaumement deviendra pratique courante dans le domaine funéraire. Ainsi, dans le but de mieux servir les familles de la grande région de Québec, l’entreprise funéraire se dotera de laboratoires spécifiquement conçus à cet effet. C’est également à ce moment qu’une nouvelle profession voit le jour : celle de thanatologue.
3. La première femme à la tête d’une maison funéraire au Québec
Lépine Cloutier a également été l’une des premières maisons funéraires au Québec, si ce n’est la première, à avoir été dirigée par une femme.
Le 15 juin 1870, Malvina Racicot épouse Germain Lépine. Elle rejoint ainsi l’entreprise familiale. En 1917, M. Lépine décède et sa veuve, épaulée par ses fils, prend les rênes de la maison funéraire.
Pendant la crise économique des années 1930, Mme Racicot jongle entre charité et développement des affaires avec brio. En effet, si elle inhume gratuitement les défunts des familles modestes, elle réussit tout de même à réaliser d’importants travaux d’agrandissement dans ses locaux de la rue Saint-Vallier.
Grâce à l’ambition de cette femme d’affaires hors pair, un vent de modernité souffle sur la maison funéraire Lépine. Parmi les innovations qui marquent son administration, on retrouve l’utilisation de corbillards en guise d’ambulances et l’achat, en 1929, du premier corbillard automobile de l’entreprise. Malvina Racicot demeurera à la tête de l’entreprise funéraire jusqu’à son décès, soit pendant 20 ans.
4. Les premiers services de crémation dans la ville de Québec
Alors qu’il fut pendant longtemps inconcevable de recourir à la crémation pour des raisons religieuses, l’Église s’ouvre à cette pratique à compter de 1963. Quelques années plus tard, la famille Lépine décide d’inclure ce nouveau mode de disposition dans son offre de services, afin de mieux répondre aux besoins de sa communauté.
Alors qu’aucune autre entreprise funéraire n’offrent la crémation dans la région, Lépine Cloutier s’adapte rapidement à cette nouvelle réalité. Afin de permettre aux familles endeuillées de tenir des funérailles plus simples et à moindre coût, sans pour autant négliger la dignité du défunt, l’entreprise funéraire sera la première à offrir un service de crémation et un columbarium à Québec, en 1973.
5. L’innovation grâce aux cimetières-jardins et aux rituels uniques
Au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, la baisse de la pratique religieuse amène l’industrie funéraire à changer. L’Église prend de moins en moins de place et le salon funéraire, de plus en plus. Lépine Cloutier s’adapte à cette volonté en offrant aux familles de nouvelles façons de célébrer la vie et d’honorer les gens qui leur sont chers.
On voit également les cimetières quitter les noyaux urbains pour se retrouver en périphérie des villes et municipalités. Cette migration inspire Lépine Cloutier, qui met sur pied des lieux de repos uniques : les cimetières-jardins.
Deux cimetières-jardins voient ainsi le jour au début des années 1970 : le parc commémoratif La Souvenance et Les Jardins Québec. C’est aussi à Lépine Cloutier / Athos que l’on doit la première forêt écoresponsable dans l’industrie funéraire à Québec.
Plus tard, Lépine Cloutier / Athos innovera en matière de produits et de rituels. La dispersion des cendres en forêt, les funérailles champêtres sous un chapiteau ainsi que les urnes et cercueils écologiques illustrent parfaitement cette approche.
Lépine Cloutier / Athos : à vos côté depuis 180 ans
Aujourd’hui, l’entreprise continue d’innover en proposant des produits et des solutions funéraires uniques, qui honorent ses valeurs écoresponsables ainsi que celles des personnes qu’elle accompagne. Lépine Cloutier / Athos fait vivre son héritage en s’assurant de servir toutes les familles de la grande région de Québec avec compassion, respect et engagement.
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