À la Maison Michel Sarrazin, le 25 avril 2021, à l’âge de 81 ans, est décédée dame Carmen Parent, épouse de monsieur Jacques G. Parent. Née à Québec, elle était la dernière survivante de la famille Henri Vachon et Berthe Laberge ; elle était la sœur de Jean-Marc (feu Louisette Gagnon), Denise (feu Jacques Vachon) et Liliane (feu Roland Boyte).

En raison des circonstances actuelles et de la limite de 25 personnes imposée par la Santé publique, les condoléances et la liturgie auront lieu en toute intimité avec la famille et les proches à la Maison Gomin, 2026 Boulevard René-Lévesque, Québec, lundi prochain, le 3 mai à 15h00. Cependant, la famille vous invite à vous joindre à elle virtuellement, en direct ou en différé, en appuyant sur l’icône « Captation des rituels » située à l’avis de décès sur le site web : www.lepinecloutier.com

Elle laisse dans le deuil, outre son époux; ses trois enfants : Robert (Mona Lisa Roy), Rémi (Maria Di Noto) et Jocelyne (Serge Prévost); ses petits-enfants Charles-Antoine et Kim, Sofie et Émilie, feu Alexandre, feu Emmanuelle, Alfrédo et Frédérique (Jean-Christophe Gagné), ainsi que ses neveux, nièces, cousins, cousines et ami(e)s.

La carrière de Carmen est intéressante. Elle fait d’abord des études classiques, suivi de trois années d’étude en sciences infirmières. Mais, elle laisse cette profession pour rejoindre Jacques en Californie où il étudie l’actuariat. Après deux ans, elle revient à Québec et consacre d’abord tout son temps à l’éducation de ses trois enfants. Suivront une dizaine d’années pendant lesquelles elle sera conseillère en voyages. Puis elle entre tardivement à l’Université Laval où elle obtient un baccalauréat en Histoire.

Son dossier médical se complexifie à compter de l’an 2000 avec un premier cancer qui lui est presque fatal. Elle sera encore touchée par le cancer en 2004, 2014 et à l’automne 2020, son dernier, qui, cette fois, lui sera fatal. Tout au long de ses combats contre le cancer, Carmen nous aura témoigné une grande sérénité, un positivisme exemplaire et un courage hors-norme. Elle prit tout son temps pour préparer méticuleusement son départ, dans le calme, sans jamais se plaindre. Elle se plaisait même à dire « Je leur ai volé 20 ans » en faisant référence au temps vécu depuis son premier cancer.

La famille tient à remercier l’équipe des soins à domicile du CLSC Ste-Foy-Sillery, le personnel soignant de l’Hôpital Saint-Sacrement; le personnel consciencieux en soins palliatifs de l’Hôpital Jeffrey Hale; et tout particulièrement le personnel et les bénévoles de la Maison Michel-Sarrazin qui ont pris soin d’adoucir les derniers jours de sa vie.

Vos témoignages de sympathie peuvent se traduire par un don à la Fondation Michel Sarrazin, 124-801, Grande-Allée Ouest, Québec, G1S 1C1, 418-687-6084, www.michel-sarrazin.ca

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