Maurice était mon parrain et un oncle bien-aimé. Mes premiers souvenirs de Maurice sont les étés ou la famille Mercier et la nôtre ont loué des chalets ensemble. C’est dans ces lieux que Maurice venait passer du temps avec nous. Je me souviens qu’on attendait ses visites avec grande anticipation.
Pendant une longue période nos rencontres étaient peu fréquente. On s’est vu en Irlande et en France. Quand Brendan et moi avons décidé de se marier à Nice, c’est Maurice qui a trouvé l'hôtel pour notre réception à Villefranche-sur-Mer.
Depuis plusieurs années maintenant, on a repris un contact plus régulier. Ces dernier mois, on s’est parlé souvent. Même malade, Maurice aimait parler de politique, voyage et gardait son sens de l’humour.