Je suis profondément ému d'apprendre le décès de Paul-André. Je regrette de n'avoir su qu'il était en soins palliatifs car j'aurais aimé le revoir et lui exprimer le plaisir que j'ai eu à travailler avec lui. J'avais une grande admiration pour mon collègue alors que nous étions directeurs de nos départements. Paul-André était un homme de conviction, déterminé à assurer le meilleur avenir pour ses étudiants et ses collègues. Capable d'écoute et d'empathie, dévoué à l'institution tout en tenant fermement son gouvernail. Je voudrais dire à ses proches que nous sommes sans doute très nombreux à déplorer sa perte. Guy Paquette prof retraité ex-directeur du département d'information et de communication

À toute sa famille, j’offre mes condoléances. Monsieur Bourque m’a enseigné au Cegep de Ste-Foy. C’était un excellent prof, enthousiaste, dynamique, ouvert et fort intéressant. Il a su me faire aimer la littérature et c’est en grande partie grâce à lui que j’ai fait mes études universitaires en littérature-linguistique. Merci, monsieur Bourque! Jocelyne Bisaillon

Je suis peinée d’apprendre le décès de Paul-André mon ancien collègue. Je garde de lui le très bon souvenir d’un homme généreux avec qui il faisait bon échanger. Jeune professeure alors qu’il était directeur du département , il a toujours été de bons conseils. Au revoir Paul-André et j’offre mes plus sincères sympathies à Myriam. 7405

Je tiens à exprimer toutes mes sympathies à la famille de M. Bourque. J'ai travaillé étroitement avec lui alors qu'il était Directeur de l'Ecole des arts visuels de l'Université Laval. Je garde de lui le souvenir d'un homme d'une culture étendue, ouvert et accueillant envers les étudiants et les nouveaux projets. Attachant et plein d'humour. Çela fut une joie de travailler avec lui. Merci M. Bourque!

Chère Myriam, Mes Meilleures pensées t'accompagnent dans cette difficile épreuve. Je ne savais pas que Paul-André était aux soins palliatifs ; tel que je le connaissais, il a dû faire preuve d'un très grand courage. Mes sympathies aussi à toute sa famille ainsi qu'a Maurice Émond, son grand ami (et mon ex-collègue).

«Qu’est-ce qu’on peut pour notre ami/ au loin là-bas/ à longueur de notre bras», disait Saint-Denys Garneau. Mais aujourd’hui, nos bras sont devenus «des rames inutiles», nos mots des adieux déchirants. Paul-André, mon ami, toi qui as affronté tant de mers agitées, tu nous as quittés pour des rivages inconnus. Tu as vécu intensément, passionnément. Ta nature sauvage, indomptable, si généreuse et sensible refusait la mort venue t’arracher à nous. À Myriam, à sa famille, à tous ses proches, amis et collègues, j’offre mes condoléances les plus sincères. Maurice Émond

Chère Myriam, Reçois toute mon amitié et mon affection. Paul-André a été «mon» directeur, celui qui m’a accueillie lors de mon embauche comme professeure au département des littératures. Je n’oublierai jamais la confiance qu’il a immédiatement manifestée à mon endroit, confiance qui m’a donné des ailes! Paul-André était fier de ses jeunes professeurs et cela n’avait pas de prix pour nous. Il aura toujours une place toute spéciale dans mon histoire et dans mon cœur. Mes sympathies à toi et à tous les proches de Paul-André. Andrée Mercier, professeure au département de littérature, théâtre et cinéma

Chère Myriam, je te transmets mes condoléances et mes pensées amicales. Paul-André était un être généreux. Il a été très accueillant et très bienveillant lorsque je suis devenu professeur au Département des littératures, qu’il dirigeait à l’époque. Il avait une façon bien à lui d’être à la fois grave et ironique et c’était toujours un plaisir de le voir. J’espère que ses derniers moments n’auront pas été trop difficiles. J’offre aussi mes condoléances à sa famille et à ses amis, en particulier à Maurice, que je salue chaleureusement.

Chère Myriam, cher Jérôme, C'est avec énormément de tristesse que j'apprends la nouvelle du décès de Paul-André. Que de précieux souvenirs, du temps où j'étais chargée de cours au département, me reviennent en mémoire. Directeur attentionné et toujours à l'écoute, Paul-André a su me prodiguer encouragements et bons conseils. À vous deux ainsi qu'à toute sa famille, j'offre mes sincères condoléances. Irène Roy, professeure retraitée, littératures.

Toutes mes pensées avec la famille de M. Bourque, et plus spécifiquement à Louis-Philippe que j'ai eu la chance de fréquenter à une certaine époque. Je garde un souvenir très puissant de cet homme à qui je dois de m'avoir accueilli avec enthousiasme en 1992 alors que je réorientais mes études de la psychologie vers les lettres. Que ce soit dans ses cours ou dans son rôle de directeur, il m'a fait sentir en confiance, m'a ouvert plusieurs portes en plus d'établir des ponts vers McGill où j'ai pu non seulement faire ma maitrise, mais amorcer ma carrière de professeur. Grâce à la confiance qu'il m'a insufflée, j'ai pu tenir bon jusqu'à le retrouver, plusieurs années et bien des défis personnels plus tard, comme membre de mon jury de thèse. Il m'est donc impossible de penser à mon parcours de vie sans me rappeler son ouverture face à moi, sa générosité et la passion dont il faisait preuve (notamment en parlant de Tchekhov... que j'enseigne aujourd'hui de la même façon qu'il le faisait...). Merci, M. Bourque et que vos proches soient réconfortés par tout le bien que vous m'avez apporté. Humblement, Hugo Roy Étudiant à l'Université Laval de 1990 à 1994 et aujourd'hui professeur au Collège Ahuntsic de Montréal.

Notre Père, qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour. Pardonne-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés. Et ne nous laisse pas entrer en tentation mais délivre-nous du Mal. Amen

Chère Myriam, toutes mes condoléances. Je conserve de précieux souvenirs de Paul-André. Il a été un grand directeur de département qui a su être à l'écoute de ses collègues, particulièrement des jeunes professeurs. Il avait de la classe, de l'humour, de l'humeur aussi parfois. C'était un homme de culture, un homme de bien. Mes sympathies à ses enfants, petits-enfants et à ses amis dont Maurice que je salue ici très chaleureusement.

Chère Myriam, cher Jérôme, je partage votre chagrin, soyez assurés de toute ma sympathie. Paul-André a été un collègue et un directeur bienveillant, généreux, sensible ; un communicateur apprécié sachant laissé place à l'écoute. Je garde de lui de nombreux et précieux souvenirs. Le premier de ceux-ci remonte à mes années de collège. J'étais en Belles-lettres, Paul-André enseignait la littérature aux «grandes» de Philo et, avec elles, montait des pièces de théâtre. J'enviais ces filles d'avoir un tel prof ! Paul-André a été parmi les premières personnes qui ont contribué à nourrir mon intérêt pour le théâtre. Cela m'a suivi par la suite. Ça ne s'oublie pas. Comme ne s'oublie pas l'homme de culture et de nature qu'il était. Toutes mes condoléances à la famille et aux proches de Paul-André, dont Maurice que je salue bien amicalement.

Myriam, C'est avec tristesse que j'apprends le décès de votre compagnon Paul-André et j'en suis fort peiné. Comme plusieurs de mes collègues, je conserve de beaux souvenirs de celui qui fut, à une époque, alors que j'étais plus jeune, mon directeur de département qu'il a dirigé d'une main de maître dans le souci de justice, sans manquer ni de générosité ni de classe. Il connaissait bien chacun de ses collègues qu'il savait écouter et qu'il respectait. En tant que directeur de programmes, pendant plusieurs années, j'ai appris avec son adjoint, mon ami Maurice Émond, à me donner sans compter pour les étudiants et étudiantes, qui nous avaient choisis pour se préparer à leur carrière. Paul-André m'a sans cesse encouragé à les aider. Mes plus sincères condoléances, à vous, Myriam, et à tous les siens. Qu'il repose en paix !

Madame Lévesque, Je vous présente mes sympathies à l'occasion du décès de Paul-André. J'ai partagé de nombreuses années avec lui au département des littératures. J'ai beaucoup apprécié Paul-André et j'ai admiré son enthousiasme et sa capacité d'ouvrir des voies nouvelles. Je garde de précieux souvenirs de ces belles années. Je vous souhaite courage et bonne route pour traverser ces moments difficiles. Mes salutations fidèles.

Paul-André Bourque a été l'un des très bons professeurs de littérature que j'ai eus à l'université. Je garde de lui le meilleur souvenir, d'abord comme étudiant, puis comme collègue à la Faculté des lettres. J'offre mes plus sincères condoléances à la famille éprouvée.

C'est avec beaucoup de tristesse que j'ai appris le décès de Paul-André. Ayant eu le privilège de travailler avec lui, je garde le souvenir d'un être sensible et généreux, passionné, doté de multiples talents. Chère Myriam, soyez assurée de toute ma sympathie.

J'apprends avec une grande tristesse l'envol de Paul-André dont j'entends encore la voix radiophonique qui servait la poésie à une radio ou l'autre. J'aimais sa convivialité et son amour des lettres. Je dis avec Grandbois pour le saluer : «Est-ce déjà l'heure ma tendre peur ° Est-ce déjà l'heure de demain ?». À Myriam, Andrée ainsi qu'aux enfants et petits-enfants, j'exprime mes condoléances.

En mon nom personnel et au nom des membres de l’Association des retraités de l’Université Laval, nous tenons à offrir nos sincères condoléances à toute aux familles Bourque et Lévesque suite au décès de monsieur Paul-André Bourque. Nos pensées les plus profondes vous accompagnent dans cette période de deuil que vous traversez. Christian Pellerin Président

Bonjour, Myriam. Quand, dans le journal Le Soleil, j'ai vu le nom de Paul-André et sa photo, j'ai eu un grand coup au coeur et les larmes me sont montées aux yeux. Même si nos contacts n'ont pas été fréquents ces dernières années, je garde de cet homme le souvenir d'un être profondément humain, très attachant, attentif aux autres. Joseph, Maxi., P.-André : ce sont les nôtres qui disparaissent

Bonjour Myriam, Bonjour Jérôme Quelle tristesse en effet cette nouvelle du grand départ de Paul-André...L'émotion monte quand je pense à mes merveilleuses discussions que j'ai eues avec lui dans son bureau de directeur que ce soit au département des littératures ou à l'école des arts visuels lorsqu'il m'avait témoigné sa confiance afin de donner une charge de cours en remplacement d'un professeur. Je garde ainsi le souvenir d'un homme jovial et attentif qui savait écouter, qui savait tellement bien nous inciter à donner le meilleur de nous. Mes pensées vont à l'ensemble de la famille...

Chère Myriam, c’est aussi avec beaucoup de tristesse que j’ai appris le décès de Paul-André et je tiens à t’offrir mes sincères condoléances. Paul-André a été à la fois un collègue et un merveilleux compagnon de route au département des littératures.

Très chère Myriam, Je suis en larmes !... C'est avec infiniment de peine que j'apprends le décès de notre si cher et si estimable Paul-André, et l'immense tristesse qui doit être la tienne ! J'ai tellement aimé travailler avec « mon directeur » de Département, puis « mon ami » Paul-André, sérieux et sage, complice et gentil, drôle et caustique, poète et élégant, franc et stimulant ; j'ai beaucoup appris grâce à lui ! J'ai aussi eu la chance de travailler avec toi, et de partager tant de précieux moments avec vous, au bureau, à Québec, puis à Sainte-Brigitte ! Toute ma tendresse t'accompagne, ainsi que ses enfants ! À cet été j'espère, Chantal

Myriam, je veux t'offrir mes plus sincères condoléances à l'occasion du décès de Paul-André. Je ne l'ai pas connu si longtemps mais j'ai apprécié sa compagnie, sa bonne humeur. Mes meilleures pensées t'accompagnent. J'offre également mes sympathies à ses enfants et petits-enfants.

M. Bourque a été mon professeur de roman québécois au Cégep de Sainte-Foy en 1971. Exigeant et captivant, je conserve un excellent souvenir de ce prof. spécial. Mes condoléances les plus sincères à sa conjointe, ses enfants, petits-enfants et aux autres membres de la famille.

Tout d'abord, je voudrais offrir mes sincères condoléances à la famille et aux proches de monsieur Bourque. J'ai eu le bonheur d'avoir monsieur Bourque comme professeur de littérature au Cegep de Sainte-Foy. Et, plus tard, c'est avec grande joie que je l'ai retrouvé à l'Université Laval pour un cours en littérature comparée. Je me souviens d'un homme disponible, passionné et captivant.

Nos pensées vous accompagnent dans cette épreuve et vous témoignent notre sympathie profonde Toute l'équipe de Paul-Eugène Chabot assurances

C’est en apprenant le décès de Marie-Claire Blais, hier, que je me suis souvenu du cours de littérature de Paul-André Bourque, au CÉGEP Ste-Foy. Il a été à la fois un professeur formidable et dévoué, et un éveilleur de la conscience littéraire. Bien plus qu’un cours à donner, professeur Bourque animait des discussions passionnantes.