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Maximilien Laroche

1937-2017

Informations

À l’Hôpital St-Sacrement, le 27 juillet 2017, à l’âge de 80 ans, est décédé monsieur Maximilien Laroche, époux de madame Xin Du. Il demeurait à Québec.

Le service religieux sera célébré le samedi 12 août 2017 à 14 heures à l’église St-Charles Garnier, 1215, avenue du Chanoine-Morel, Québec (Québec) G1S 4B1.

La famille recevra les condoléances à l'église à partir de 13 heures (une heure avant la cérémonie).

Une réception suivra la cérémonie.

Les cendres seront placées dans le columbarium du Complexe funéraire Maison Gomin, 2026, boul. René-Lévesque Ouest, Québec (Québec) G1V 2K8.

Originaire du Cap-Haïtien, Maxi est arrivé au Québec en 1960. Après des études à l’Université de Montréal et l’Université de Toulouse-Le Mirail, il a connu une grande carrière en enseignement et recherche en littérature comparée. En plus de son travail de professeur à l'Université Laval, il a écrit de nombreux essais sur des auteurs de la Caraïbe, d’Amérique latine, d’Afrique et du Québec.

Par ses conférences autour du monde, celui qu’on surnommait en riant ''l'Homme de Rio'' a contribué au rayonnement d’écrivains québécois dans le monde entier. Il a eu le privilège d’être élu membre de l’Ordre des francophones d’Amérique par le Conseil de la langue française du Québec en 1988 et, en 1999, d’être fait Chevalier de l’Ordre National Honneur et Mérite de la République d’Haïti. En 2009, un doctorat honorifique lui a été décerné par l’Université McMaster.

Il laisse dans le deuil, outre son épouse Xin Du; ses enfants issus d'un premier mariage avec feu Louise Goyer : Catherine et Olivier; sa sœur : Ginette Parisien et son mari Lionel; sa belle-sœur : Claire Goyer; ses neveux : Pierre-Richard Arty, Eddy Parisien ainsi que leurs familles; son ''frère'', Mercier Pierre-Louis; ses ''cousins'' : Richard et Lise Caron; sa bru Catherine Florent; sa belle-famille en Chine ainsi que ses amis et collègues du monde entier.

La famille tient à remercier l’équipe du CHUL pour leur bienveillance et leur dévouement.

Vos témoignages de sympathie peuvent se traduire par un don à la fondation du CHU de Québec, 10, rue de l’Espinay, Québec QC G1L 3L5, tél. : 418-525-4385.

La direction des funérailles a été confiée à Lépine Cloutier.

Pour renseignements :
ATHOS
Téléphone : 418 529-3371
Télécopieur : 418 767-2309
Courriel : info@lepinecloutier.com

Georges Vaillancourt

01 / 08 / 2017

Sincères condoléances à Catherine et Olivier ainsi qu'à toute leur famille de la part de l'Association des familles Laroche et Rochette inc.

André Gaulin

02 / 08 / 2017

Avec son grand rire, il s'en va. Et une dernière question qu'il pose d'urgence. Son grand savoir passe sans doute à une bibliothèque de l'au-delà. Notre collègue nous met en deuil. Malgré lui, malgré nous. À une prochaine, cher Maxi, Dieu sait où ! Tu nous manque dorénavant. À madame et aux siens, ma solidarité. André Gaulin.

Martin Forest

02 / 08 / 2017

En souvenir des premières aventures de Maximilien au Québec: Récemment débarqué au pays, Maximilien s'est retrouvé au bout du monde, au séminaire de Gaspé, pour enseigner la littérature à une bande de gars qui étaient très loin de la poésie. Il a dû faire preuve d'une grande imagination et de beaucoup de psychologie pour faire apprécier les chefs-d'oeuvres de la littérature à ces irréductibles gaspésiens. À bout de ressources et en désespoir de cause, il a eu le génie de recourir aux poèmes de Cassius Clay ( Mohamed Ali) et ainsi il a réussi à réconcilier jusqu'aux plus récalcitants d'entre nous. Tous s'en souviennent. Je me rappelle encore la consternation de Maximilien, qui, le regard terrifié, assistait de la fenêtre du deuxième étage à une tempête de neige mémorable de janvier. Devant ce tourbillon blanc qui remplissait le ciel, il répétait inlassablement: Pourquoi? Pourquoi? Pourquoi... On lui en a beaucoup fait voir et lui nous en a beaucoup appris. Merci Monsieur le Professeur. Martin Forest élève du séminaire de Gaspé, quelque part au début des années soixante

Luiza Sawaya

03 / 08 / 2017

Au mois de juillet de 1978, un seul monsieur, entouré de plusieurs dames - des étudiants venant de différentes régions du Brésil - sont arrivés à Québec pour suivre un stage à l’Université Laval. Quel privilège que celui de suivre des cours avec les meilleurs professeurs de Laval, essayant de perfectionner notre français et de connaître la culture du Canada! Quelque chose très spéciale a attiré mon attention vers Maximilien Laroche, peut-être un mystère du voudou… A ce moment-là, une grande amitié nous a lié pour toutes ces années. Il est venu au Brésil, je suis retournée à Québec et notre correspondance, pleine de réflexions sur des sujets qui allaient de Haiti au Brésil, à la musique, aux “modinhas” et surtout aux “lundus”, la danse africaine à laquelle il s’intéressait beaucoup, n’a jamais cessée. Je suis désolée de perdre un ami si cher. Je garderai de lui de profondes “saudades”. À Xin, à Catherine et à Olivier, mes pensées les plus affectueuses. Luiza Sawaya

Claude Leblanc

04 / 08 / 2017

Mes sincères condoléances à Catherine et Olivier ainsi qu'à toute leur famille.

Jean Moisset

04 / 08 / 2017

Maxi, tu t'en es ainsi allé pour ton dernier voyage. Au terme d'une vie riche et bien remplie de l'immense production que l'éminent professeur, le chercheur et l'écrivain de la littérature comparée, l'haïtienne et celle du Québec, celles des Caraïbes et du Brésil sans compter celles d'autres espaces créolophones liés au français, laisse aux compatriotes de ta terre natale, de ta terre d'adoption et à tes collègues du monde entier. Je me souviendrai longtemps de nos échanges, toi m'enrichissant de ta culture littéraire et moi, à travers tes questions de chercheur toujours à l'affût, ce que je sais sur l'éducation dans notre chère Haïti, incontournable pour son développement. Nous nous souviendrons encore longtemps, Aliette et moi, de ce souper que nous avons partagé avec toi et ton épouse Xin le 5 avril 2017. Nous ne nous imaginions pas alors que pour toi, il allait être le dernier. À moins d'une belle surprise de l'Au-Delà! Paix à ton âme, Maxi! Profondes sympathies et courage à Xin, à tes enfants, aux familles et aux proches! Paix à ton âme, Maxi! Profondes sympathies et courage à Xin, tes enfants, ta famille et tes proches!

Jozef

05 / 08 / 2017

Maximilien a ete pour moi un phare et un mentor. Et un grand ami. C'est lui qui a lu vers 1999 avec generosite et indulgence le plan developpe de mon livre consacree en partie a la litterature caribeenne francophone tout en me prodiguant de precieux conseil. Il s'interessait a ma carriere et a la Pologne et etait tres fier qu'un chercheur polonais s ' aventurait sur le terrain de la litterature haitienne en Haiti et dans la diaspora. En novembre de l'annee derniere il a consacre son temps a discuter avec ma doctorante italienne, venue a Quebec, du plan dr sa these. Il etait spirituel, plein d'humour et de candeur, et avait un cote mysterieux comme un esprit tutelaire du vaudou qui protegeait et indiquait au-dela des oceans qui nous separaient le bon chemin a prendre et de n'en jamais devier. Merci Maxi...

Jocelyne Bisaillon

05 / 08 / 2017

Quand je pense à Maxi, que je n'ai pas vu depuis de nombreuses années, je vois son sourire, sa bonne humeur, j'entends son rire, nos échanges. Son savoir partagé en toute simplicité m'impressionnait toujours. À toute sa famille, et plus particulièrement à Catherine et Olivier que je connais davantage, j'offre mes condoléances et pensées affectueuses. De là-haut, Maxi veillera sur vous.

Fernando Lambert

05 / 08 / 2017

Madame Xin DU, Notre département des littératures vient de me transmettre la triste nouvelle du décès de mon collègue et ami, Maximilien, votre mari. Depuis notre départ à la retraite, nous avons eu quelques occasions de nous revoir et cela a toujours été pour moi un très grand plaisir. Je me souviens de vous avoir rencontrée au Jardin du Haut-Saint-Laurent où Maximilien séjournait après son grave accident de voiture. Je connais Maximilien depuis son entrée au département peu de temps après mon arrivée, au début des années 1970. Sa spécialité en littérature haïtienne et en littérature québécoise et ma spécialité en littératures africaines nous ont amenés à voyager souvent ensemble au Canada, aux USA, en France, au Sénégal lors de colloques où nous intervenions souvent dans le même atelier. Il a toujours été un collègue aimable, travailleur, excellent chercheur, éditeur avec sa collection précieuse et partageant facilement avec tous. Je lui dois beaucoup pour son amitié, pour l’aide qu’il a toujours apportée pour soutenir certains de mes étudiants qui voulaient publier leur travail. Son départ est lourd pour vous et ses enfants que j’ai connus alors qu’ils étaient encore jeunes. C’est toujours une surprise lorsque quelqu’un est en relative bonne forme et part à l'improviste. Je suis particulièrement touché car Maximilien a toujours été un bon ami. Je serai au service religieux le samedi 12 août et je pourrai vous renouveler mes amicales sympathies. Mes pensées vous accompagnent. Fernando Lambert Professeur émérite

Richard Saint-Gelais

06 / 08 / 2017

Chère Madame, C’est avec beaucoup de tristesse que je reçois la nouvelle du décès de votre conjoint et d’un collègue qui m’était très cher. J’ai connu Maximilien au milieu des années 1990, lorsque jeune professeur je suis arrivé au département des Littératures. J’ai aussitôt été frappé, comme à coup sûr tous ceux qui l’ont connu, par la grande chaleur de cet homme auquel on s’attachait immédiatement. Maximilien était un homme d’une grande bonté, un intellectuel brillant et, chose bien trop rare, absolument dénué de prétention ; pour nous tous, un collègue modèle aussi bien sur le plan personnel que sur le plan professionnel. Je ne vous apprends certainement rien en écrivant tout cela, mais je veux vous dire à quel point ses qualités et sa présence demeurent vives dans mon souvenir. J’ai eu la joie de le croiser par hasard dans l’autobus, il y a deux ans environ. Après plusieurs années, c’était toujours le même Maxi, chaleureux, aux yeux pétillants comme ceux d’un petit garçon. Ce fut notre dernière rencontre, trop brève malheureusement. À vos ainsi qu'à vos enfants je tiens à exprimer mes plus sincères condoléances. Richard Saint-Gelais

Rosalía Cortés

06 / 08 / 2017

Chère Xin, J'ai été très émue de lire le beau et sensible courriel que, malgré ces moments difficiles, tu as eu la gentillesse de nous adresser. Je l'ai lu ici à ma famille, qui a regretté vivement le décès de Maxi. Son départ inattendu laisse un grand vide chez tous ceux qui l' ont connu et ont profité de son apport. Il était très apprécié au sein de la communauté universitaire en Colombie, où il nous a fait connaître à travers ses écrits, conférences, analyses la richesse de la littérature de la Caraïbe francophone, et nous a sensibilisés à la douloureuse situation de son Haïti chéri qu'il portait toujours dans son cœur. Je voudrais pouvoir t'exprimer ce que signifie pour moi cette perte irréparable de l'ami sans pareil, mon conseiller et guide toujours prêt à résoudre toutes mes questions à propos de mon travail sur la Caraïbe. Ma chère Xin, tu peux compter sur mon amitié sincère; nous serons maintenant en communication pour évoquer cet être merveilleux qu'a été Maxi et qui sera toujours dans notre mémoire. Je te prie de transmettre mes vives condoléances à Catherine et à Olivier. Malgré la distance, je suis de tout mon cœur avec vous pour la cérémonie des funérailles de Maxi. Je t' embrasse très fort, Rosalía

Somphrathai Siripholdej et Michel Leclerc

06 / 08 / 2017

Chère Xin, Toutes nos plus sincères sympathies. Tu n'es pas sans savoir comment nous étions attachés à Maxi et quel privilège nous avons eu de le connaître et surtout d'apprécier son amitié. C'était un homme discret sur lui-même et sur ce qu'il pensait. Il laissait toute la place aux autres, écoutant plutôt que de parler, Et pourtant que de choses il avait à dire. Ce qui m'étonnait le plus chez lui, c'est sa profonde connaissance du Québec au point d'être en mesure d'en parler aussi bellement et aussi loin qu'à Rio, comme on le surnommait. Il va terriblement nous manquer. Nous aimerions que tu transmettes à Catherine et Olivier toutes nos condoléances. Nous t'embrassons très fort.

Jean-Claude Simard

07 / 08 / 2017

Chère Madame, Je vous prie d'accepter mes plus sincères condoléances. Max était un collègue et un ami que j'aimais beaucoup. Nous partagions plusieurs centres d'intérêt; en plus d'être un fin connaisseur de la littérature et de la culture d'Haïti, il s'intéressait à ce qui se passait sur le continent latino-américain. J'espère être présent aux funérailles le 12 août. Veuillez accepter, chère madame, l'expression de mes sentiments distingués. Jean-Claude SIMARD Littérature et civilisation Amérique latine

Club de lecture Aperto libro (Pauline Doyon)

07 / 08 / 2017

Les membres du Club de lecture Aperto libro tiennent à vous offrir leurs plus sincères condoléances à l'occasion du décès de Maximilien. L'annonce de son décès nous a causé un grand choc. Pendant la période où il a été des nôtres, Maximilien nous a entre autres fait découvrir et apprécier la poésie. Son départ pour cause de maladie avait laissé un grand vide. Son esprit d'analyse et ses grandes connaissances nous ont fait grandir. Son souvenir restera gravé dans notre mémoire.

Madeleine B.ROY

08 / 08 / 2017

A tous les membres des Familles Laroche et Xin DU nos sincères condoléances a l'occasion du Décès de M. Maximillien Laroche Sincèrement Famille Madeleine B. Roy 1030 ave de Ploërmel Québec (Sillery) G1s-3r9

Alexis Fred-Edouard

08 / 08 / 2017

Un être cher vient de s'en aller. Comment exprimer par de simples mots la grande émotion et l'infinie tristesse qu'au fond de notre cœur nous ressentons. Nous vous présentons nos condoléances les plus sincères. Repose en paix Parrain. Fred-Edouard & Sabrina

Maurice Émond

09 / 08 / 2017

À toute la famille de Maximilien, Un tout petit mot pour dire ma grande peine en apprenant le décès de Maximilien. C’était un collègue et un ami hors du commun, toujours affable, souriant, prévenant, chaleureux, ouvert, compétent. Il est irremplaçable. Toutes mes condoléances, les plus vives. Les mots me manquent… Il laisse un si grand vide. Maurice Émond

Marie Christine Bernard

09 / 08 / 2017

Cher monsieur Laroche, Mon directeur de maîtrise préféré. Je parlais de vous l'autre jours avec mon amoureux, lui aussi votre ancien étudiant. Nous parlions de votre humour, de votre gentillesse, de votre curiosité et de votre grande tendresse pour l'humanité. Votre ouverture m'a permis de faire une maîtrise sur un sujet plutôt rarement abordé en littérature à l'époque. Votre oeil indulgent, mais inquisiteur a conduit mon travail vers la réussite. Vous saviez, nous nous étions croisés à quelques reprises depuis, que j'étais à mon tour devenue prof, et écrivaine aussi. Vous en retiriez une gentille fierté, je crois. J'avais beaucoup d'affection pour vous, en plus du respect pour le maître et de l'admiration pour le chercheur. J'aurais bien aimé vous le dire pour de vrai... Bon voyage, cher ami, je vous souhaite parmi les livres et les beaux esprits. Je sais que les loas vous seront favorables. Orevwa zanmi m 'wen. Marie Christine

Hérold TOUSSAINT

10 / 08 / 2017

Mon cher Maxi, Tu aimes la vie. Je n'oublierai jamais les repas que nous avons pris ensemble. Ton épouse XIN nous accompagne toujours dans ces moments de convivialité ou de célébration de l'existence. Manger ensemble signifie pour toi, penser ensemble, rire ensemble, espérer ensemble et construire ensemble. Pèlerin de l'Espérance, tu embrasses aujourd'hui le MYSTERE DE L'EXISTENCE. Tu as offert à la TERRE ta tendresse, ta pitié, ta compassion et ta grande intelligence. Je n'ai pas eu le temps de répondre à ton courrier du 19 juillet 2017. Tu es parti le 27 juillet de cette même année. Mais, je peux te dire éternellement : " MERCI". Tu as fait de ton mieux pour embellir notre existence en offrant gratuitement ton large sourire à ceux et à celles qui t'ont côtoyé. Les étudiants d'Haïti que tu as rencontrés le 7 juin 2007 lors de ton dernier séjour en Haïti te remercient pour ta grande générosité. Ami de la beauté et travailleur infatigable, tu as écrit en trois jours ( du 22 mai au 24 mai 2017) la préface de mon dernier livre"Argumenter en philo et à l'université" destiné aux jeunes de ton pays d'origine. A travers ce livre, les étudiants et les étudiantes d'Haïti découvriront ton texte sur la beauté. Ton amour pour la justice et l'équité transparaît derrière ton interprétation du fait social haïtien. Sois-en sûr, cher ami, tu ne mourras jamais. Je ferai de mon mieux pour faire connaître tes écrits dans le monde universitaire haïtien. Ton ami et ton complice Hérold TOUSSAINT

André Berthiaume

10 / 08 / 2017

Il aimait la discussion, le monde des idées, le dialogue, et il aimait rire, d'un rire mémorable que j'entends encore. J'aimais sa gentillesse, sa délicatesse, sa générosité, sa modestie, sa bonne humeur. Nous avons eu une longue et belle relation que rien jamais n'est venu assombrir, et je lui en suis infiniment reconnaissant. Mon cher Maxi, tu vas beaucoup me manquer.

Diane Perron et Michel Salmador Louis

10 / 08 / 2017

Un Hommage bien simple à notre ami à Maximilien Laroche. Maxi était un combattant modèle non violent et sans arme. Il a su toucher les fibres les plus profondes de l’être humain et atteindre les sommets les plus élevés de l’intelligence humaine en utilisant les termes les plus appropriés. Il était plein de sentiment, d’esprit, de volonté. Il a sûrement aidé ceux qui le côtoyaient à orienter leur quête de sens à leur existence. On peut dire que pour Maxi, c’est mission accomplie. Car le bilan à la fin de sa vie nous paraît positif. Il demeurera vivant à travers ses nombreux écrits, à travers son enseignement si riche dispensé à ses étudiants qui l’ont tant aimé, à travers les projets qu’il a initiés et auxquels il a contribué, à travers son amitié et sa sollicitude qui se prolongent en chacun de nous venus lui rendre hommage. Non, Maxi n’est pas parti. Il est là derrière le miroir nous observant, scrutant nos moindres gestes. Il continue le dialogue, les échanges avec nous jusqu’à ce que la mort vienne nous faucher à notre tour. Merci, Maxi, de ta générosité, de ton respect, de ton engagement et de ton encouragement. Sois serein et confiant. Un bon accueil t’attend là où tu vas. Nos meilleures pensées t’accompagnent! Nous offrons à la famille : son épouse Xin, sa fille Catherine, son fils Olivier ainsi qu’à sa sœur Ginette, nos sympathies les plus sincères. Michel-Salmador Louis Diane Perron

Chantal Théry

10 / 08 / 2017

Je tiens, Xin, à vous dire ma peine infinie à la nouvelle de la disparition soudaine de notre merveilleux Maximilien ! J'étais sa collègue au département des littératures ; collègue ''chanceuse'' d'avoir à ses côtés un homme si gentil, si drôle, de bonne humeur (j'entends son rire !) et si attentif aux autres et à une qualité de relation qui rendait agréable et plus légère l'ambiance de travail ; et quelqu'un d'intellectuellement si fin et généreux qu'il honore la communauté littéraire et universitaire ; nous perdons un grand Monsieur ! mais un grand intellectuel, qui tisse des liens entre les cultures et les littératures, ne meurt jamais ! Je vous offre, à vous et aux enfants, mes plus sincères condoléances, du fond du coeur, et je le pleure avec vous. Chantal Théry

Victor H. Ramos

11 / 08 / 2017

Au nom du Cercle littéraire Gabriel Garcia-Marquez et de CASA latino-américaine de Québec j'exprime notre énorme peine en apprenant le décès de Maximilien et j'offre nos condoléances à Xin, leurs enfants et proches. Il a été l'incarnation de la personne fine et respectueuse des autres et de leur opinion, un intellectuel d'une pensée profonde et exprimée dans une langue belle, nuancée et précise. Nous avons eu le plaisir et le privilège de l'avoir au cercle comme conférencier à deux reprises . Personnellement, j'ai beaucoup aimé ses essais, en particulier celui sur le réalisme magique et son livre "La dialectique de l'américanisation" de riche contenu où il nous apprend, entre autres choses, que le métissage est "l'humaine condition." Conception très à propos qu'apporte Maximilien dans ce temps de nouvelles migrations qui forcément accélérera les métissages qui appelle l'ouverture et l'accueil de l'autre. Merci, Maximilien, pour ton humanité!

Fernando Sheriff

11 / 08 / 2017

À la famille de "Max", mes sentiments et condoléances. Max, mes souvenirs de tant d'échanges sur l'Amérique du Sud, de littérature, musique... Toi, tu nous laisses un vide.

Michel Gervais

11 / 08 / 2017

À l'épouse et aux enfants de Max qui était un être d'exception et un modèle d'humanité. J'ai personnellement bénéficié de la chaleur de son amitié en un moment difficile. Je conserverai toujours de lui un souvenir ému et reconnaissant

Ousmane Kane de Dakar, Sénégal – 11/08/3017

12 / 08 / 2017

Mon amitié avec Maxi remonte au tout début des années 80, grâce à sa défunte épouse Louise qui avait eu la gentillesse de m’inviter à déjeuner à la maison un jour, puis de nombreuses autres fois. Elle était alors Assistante de Direction au Département des Vivres (devenu Département des Sciences et Technologies des Aliments-STA), de la Faculté des Sciences de l’Agriculture et de l’Alimentation (FSAA), de l’Université Laval de Québec où j’étais venu, en mars 1980, effectuer un stage de l’Université des Nations Unies (UNU) et où, par la même occasion, j’ai suivi un cursus d’étudiant au Doctorat. Louise était une véritable dame de cœur, d’une sympathie sans pareil et surtout d’une très grande générosité. Elle rendait d’énormes services à toute la diaspora estudiantine africaine de la dite faculté et avait ainsi accepté, bénévolement, de me saisir intégralement mon mémoire de thèse de PhD. Au fil des ans et malgré la disparition prématurée de Louise, Maxi est devenu pour moi plus qu’un ami mais un véritable frère. Aussi, à chaque passage au Canada, notamment pour visiter mes enfants du côté d’Ottawa, je me faisais toujours le devoir d’aller le voir, chez lui à Québec. J’y ai toujours été bienvenu, jusqu’à récemment encore, en décembre dernier, bénéficiant à chaque fois de la grande hospitalité de Xin, sa seconde épouse qui avait bien mesuré la profondeur de nos relations. Nous restions alors, à chaque fois, à discuter, des heures et des heures, de l’Afrique, d’Haïti, du dialogue des cultures, de la coopération Nord-sud ou interuniversitaire, de l’actualité géopolitique internationale, etc,..etc,.., sans jamais nous lasser, jusqu’à tard dans la nuit. C’est pourquoi la nouvelle de son rappel à Dieu nous a plongés dans une grande consternation, moi comme mon épouse Hawa et toute ma famille dont tous les membres l’ont connu, lors de sa visite mémorable à Dakar ou, pour les plus jeunes, nous ont toujours entendus parler de lui. Je suis persuadé que ce sentiment de grande tristesse anime également tous ceux qui ont eu le bonheur de le côtoyer et surtout de le fréquenter. Toujours jovial et enthousiaste, Maxi était un homme généreux, de grande culture, très fidèle en amitié, humaniste, tiers-mondiste et africaniste convaincu. Nous perdons en lui un homme de valeur au grand cœur. Ma fille Fatimata, venant spécialement de Gatineau, retrouvera à Québec mon neveu Amadou pour représenter ensemble toute notre famille aux funérailles. Paix éternelle à son âme, que le Tout-Puissant l'accueille au paradis et donne le courage de supporter cette dure épreuve à son épouse Xin, ses enfants Catherine et Olivier, ainsi qu’à tous ses proches.

Nubia Hanciau

12 / 08 / 2017

Notre chère Xin, Catherine, fille, Olivier, fils de Maximilien Laroche Le coeur serré et profondément attristés nous avons reçu la mauvaise nouvelle de la mort de notre si cher ami Maxi, le 27 juillet dernier. Comme Xin l’a si bien dit, c'est la fin d'une époque. C'est une perte immense, un frère de coeur qui laissera des "saudades" sans fin et vivra dans nos mémoires pour toujours. Recevez, la famille, nos sincères condoléances et notre "abraço" solidaire dans ce moment encore de deuil, qui est aussi le nôtre du côté sud de l'Amérique. Merci de nous garder en contact, une manière de nous maintenir toujours proche de Maxi et de vous. Flavio se joint à moi pour vous embrasser, très affectueusement. Nubia et Flavio Hanciau

Carmelle Beaulieu

12 / 08 / 2017

De retour des funérailles, je tiens à dire mon appréciation pour une célébration à l’image du noble Maximilien Laroche. Je suis reconnaissante d’avoir eu l’occasion d’offrir ma sympathie à sa conjointe, Xin Du ainsi qu’à ses enfants, Catherine et Olivier. Comme le temps était compté, je n’ai pas eu la possibilité de partager mes souvenirs. J’aimerais seulement dire comme il était gratifiant de travailler avec lui. Dans les périodes chargées de tensions, il savait détendre l’atmosphère avec sa rigolothérapie. Il restera éternel dans le coeur des petits comme des grands de ce monde. Monsieur le professeur, ON NE VOUS OUBLIRA JAMAIS !

Josette Bourque

13 / 08 / 2017

Chère Xin, Je te transmets mes sincères condoléances de retour à Québec. Mes sentiments t'accompagnent et la famille de Maximilien en ces moments difficiles. Je garde de Maximilien le plaisir de conversations agréables partagées autour de la table de Michel Leclerc et de conversations impromptues autour du circuit 800. Bon courage, Josette

Renald Bérubé

15 / 08 / 2017

Nous nous connaissions depuis le milieu des années 1960, jeunes professeurs de littérature que nous étions alors au collège Sainte-Marie ; nous n'avons jamais rompu ni le contact ni l'amitié, chaleureuse. Toi que Jacques Ferron, dans un bel article qui te rendait hommage, a décrit comme «le plus Québécois des Haïtiens», ton départ me laisse un peu beaucoup désemparé, très désolé, comme désertifié, même - les souvenirs qui nous lient à toi et à Louise, ta première épouse, nous sont toujours si présents, à Thérèse et à moi, que nous entendons encore bien clairement et ta voix et ton rire, les deux ayant des caractéristiques à toi seul dévolues par la création ! T'avons aimé et apprécié, rien n'a changé, sinon qu'il faudra s'habituer à ton absence. Aux tiens, à Catherine et à Olivier, tes enfants, et à Xin Du, ton épouse, nos condoléances les plus chaleureuses, l'amitié ne pouvant se passer de chaleur.

Bernard ANDRES

21 / 08 / 2017

Maxi ! Ah, Maxi ! Ton regard enjoué quand on se retrouvait au hasard d’un colloque, d’un lancement, ou, à la suite d’une invitation sous ton toit ! Que ce fût à Québec, à Montréal ou sous les cieux brésiliens, ce regard et ce rire nous comblaient d’une joie indicible : celle de l’échange avec un être généreux toujours prêt à partager ses connaissances et ses intuitions sur les littératures des Amériques (Québec, Brésil et Caraïbes heureusement confondus dans une séminale latino-américanité). Comme bien d’autres, je dois à Maxi la découverte du Brésil qu’il avait fréquenté avant nous et dont il nous avait livré trésors et secrets, éveillant en nous de nouvelles perspectives, provoquant de nouvelles rencontres : Lilian, Euridice, Nubia, Zilá et Licia de Todos os Santos…Je dois à Maxi ma découverte de ce Sud que chantait Charlebois, un Sud endiablé sans péché en-deçà de la ceinture (éclat de rire de Maxi !), un Gai-Sud par-delà le Triste-Sud et le Triste-Sir des États désunis, un Sud qui m’avait fait si bien perdre le Nord… Sans Maxi et son formidable réseau brésilien, aurions-nous jamais risqué le Centre d’études et de recherches sur le Brésil (CERB) ? Mille gratitudes à toi et à Xin qui, sous votre toit, m’avez si gentiment accueilli avec Patricia. Vos rires et le Maxi-sourire de Maxi m’accompagnent encore et toujours. Muito obrigado, Maxi, e todos nos abraços ! Bernard Andrès