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Dannys Breton

1959-2017

Informations

Au CHSLD Charlesbourg, le 18 juin 2017, à l’âge de 57 ans, est décédé monsieur Dannys Breton, ingénieur, fils de dame Thérèse Cayer et de feu monsieur Roméo Breton. Il demeurait à Québec.

Il laisse dans le deuil, outre sa mère, dame Thérèse Cayer (Rémy Lemelin); ses frères : feu Jacques (Hélène Dufresne) et Michel (Carole Cyr); ses oncles et ses tantes de la famille Breton : feu Lorette, Thérèse (Prospère Boulianne); ses oncles et ses tantes de la famille Cayer : Yvonne (feu Thomas Croteau), feu Edmond (Irma Gingras), feu André, Jeannette (feu Rosaire Courcy), Alphonse (Renée Turgeon), feu Cécile (feu Hilaire Rousseau), Doris (feu Armand Peticlerc), feu Alfred (feu Lucille Martineau), feu Georges-Henri (Liliane Vézina) et Denise (feu André Dufresne) ainsi que ses neveux, nièces, cousins, cousines, parents et ami(e)s.

La famille tient à remercier le personnel du foyer Charlesbourg pour les bons soins reçus et la sympathie portée à notre égard.

Vos témoignages de sympathie peuvent se traduire par un don à la Fondation des maladies du cœur et de l’AVC, 4715, avenue des Replats, bur. 261, Québec (QC) G2J 1B8, tél. : 418-682-6387.

Pour renseignements :
ATHOS
Téléphone : 418 871-2372
Télécopieur : 418 767-2308
Courriel : info@lepinecloutier.com

Lise Parent

19 / 06 / 2017

Cher Dannys, Suis passée te voir vendredi soir mais je n'ai jamais pu communiquer avec toi car ton sommeil était déjà trop profond. Je n'ai pu que déposer quelques bisous sur ton front et flatter ta main. Si tu savais toute la peine que je ressens de te voir partir si tôt…ça me brise le coeur en mille miettes. Repose-toi maintenant. Avec ton coeur immense et généreux, tu n'auras plus qu'à veiller sur les tiens et tous ceux que tu aimes. À sa mère et tous les membres de sa famille, j'offre mes sincères condoléances. Je tiens également à remercier son frère Michel qui a eu la patience et la grande générosité de nous informer de la situation au cours des derniers jours. Je vous en suis très reconnaissante. Puissiez-vous trouver du réconfort dans vos plus beaux moments partagés avec Dannys. Adieu mon bel ami Je t'aime et t'embrasse très fort xxx

Isabelle FINES

20 / 06 / 2017

DANNYS nous laisse dans une grande tristesse avec son départ prématuré. Il faut se souvenir de sa grande gentillesse en priorité. Mes condoléances les plus sincères accompagnent toute la famille. Isabelle Beauchemin

Benoit Laroche

20 / 06 / 2017

Mes condoléances à la famille

GÉRARD BALLIVY

06 / 07 / 2017

C'est avec beaucoup de tristesse que je viens d'apprendre le décés de Dannys,..Je l'ai cotoyé de nombreuses années durant ses études à Sherbrooke,puis durant sa carriére professionnelle pour laquelle il s"est bien battu sans recevoir la reconnaissance qu'il méritait,..J'ai toujours cru en lui,comme il me l'écrivait en février,.. À toute sa famille et tout particuliérement à sa maman,j'adresse mes profondes sympathies,..

Sylvie Côté

07 / 07 / 2017

C'est avec une immense tristesse que je viens d'apprendre le décès de Dannys. Nous nous sommes rencontrés à Sherbrooke et nous avons partagé ensemble de beaux moments durant quelques années. Depuis, nous nous sommes perdus de vue, mais mon cher Dannys, tu vas me manquer et tu seras toujours dans mes pensées. Toutes mes sympathies à Mme Breton, à Michel ainsi qu'à la famille.

Kaveh Saleh

11 / 07 / 2017

Mes sincères condoléances à la famille

Gaétan Martineau

27 / 07 / 2017

Mes sincères condoléances à la famille...je viens tout juste de l'apprendre. Une pensée plus particulière à Michel.

jamal Rhazi

13 / 09 / 2017

J’ai connu Dannys lorsqu’il demeurait à Sherbrooke. Je viens d’apprendre son décès hier via la revue Plan. C’était quelqu’un de bien et de bon. Mes sincères condoléances à la famille. Repose en paix mon cher Dannys.

Pierre NAPROUX

14 / 03 / 2022

Cher Dannys. Je suis si triste d'apprendre aujourd'hui ton départ, il y a cinq ans déjà. Par delà l'Océan Atlantique, ton nom et ta photo me remémorent cette année 1991, au cours de laquelle tu séjournas dans ce qui était alors ma ville, Toulouse, pour y mener des recherches sur l'interface roche - pâte ciment. Je t'y ai aidé du mieux que j'ai pu, au moins à ne pas te sentir seul les soirs et fins de semaines, si loin de tous les tiens, en t'accueillant aussi pour quelques repas chez mes parents. Nous étions devenus amis, tu étais devenu comme le grand frère que je n'avais pas, complices même envers et contre tous, contre tous ceux qui ne te faisaient pas de cadeaux et que je trouvais très injustes avec toi, voyant à quel point tu travaillais. Je peux bien le dire aujourd'hui, tu impressionnais le jeune étudiant chercheur de 7 ans ton cadet que j'étais, à la fois par ta puissance de travail, et aussi par ton expérience de la vie : et oui, nous ne faisions pas que parler travail, dans nos sorties restaurant au centre ville le soir ! Tu me parlais, entre autres, promis je garderai certaines histoires pour moi, des femmes, du Québec, de ta Belle Province, de EACL, de l'Université de Sheerbrooke et aussi dans des termes toujours élogieux, de quelques personnes, que je ne connais pas, dont je retrouve le nom ici et qui t'ont exprimé leur amitié, leur amour, cinq ans avant moi. Et puis je trouve aussi ton manuscrit de thèse, que je n'avais jamais eu entre les mains... enfin ! Avec des remerciements à mon endroit, que je découvre et qui me touchent vraiment vraiment beaucoup. Mon cher Dannys, moi qui croyais que les hasards de la vie nous remettraient sur le même chemin. J'ai compris à moment donné que tu n'y tenais pas. On ne peut rien contre ceux qui sont jaloux et qui parlent dans le dos des autres. Car la complicité, en amitié aussi, ça fait toujours des envieux qui sont capables de raconter n'importe quoi. C'est ce que j'ai fini par me dire et c'est la raison pour laquelle je n'ai pas insisté. Mais tu vois, pour moi, la distance et le temps n'ont rien changé, ne changeront jamais rien: tu restes et tu resteras, peut-être le meilleur ami que j'ai eu ici bas. Pendant six mois seulement peut-être, le temps de ton premier séjour en France, mais quels six mois avoue, pour moi inoubliables, de travail, d'entraide et de franche camaraderie. C'est un peu l'ami de cette jeunesse que je retrouve ce soir, 30 ans plus tard. A l'ami retrouvé, hélas trop tard... mais pour toujours.